Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
"A chaque anniversaire j'ai levé mon verre à quand je t'aimais d'amour, je t'aimais mon amour"
22 septembre 2010

Crash

Le corps qui lâche, l'esprit qui sature, la tête en flamme, les yeux rougis.

Deux foutues semaines de délire total. Quelques jours seulement pour que tout reparte, que tout recommence. C'est le vide dans mon âme pleine de conneries, pleine de théories et d'idées surfaites. C'est l'angoisse, depuis la racine de mes cheveux jusqu'à la plante de mes pieds.

Dehors, dedans, qu'importe, je n'ai plus l'impression d'être libre. Enchaînée sans chaînes, je rêve de partir, mais je stagne entre quatre portes, d'Orléans à Clignancourt en passant par Clichy et Vanves. C'est l'enfer et le chaos, la ligne trépassée, la marge qui déborde et se répand sur la table.

Quelle ironie, oui, quelle ironie... où sont passés les rêves ? Je n'aspire qu'à la solitude, au repos, et dans le même temps j'aimerai voir ceux qui sont loin, j'aimerai entendre encore et encore Roger Daltrey chanter Tommy, en sirontant un rosé frais face à la plage...

Laissez moi tranquille. Laissez moi créer et me planter. Laissez moi vivre.

Publicité
Publicité
Commentaires
"A chaque anniversaire j'ai levé mon verre à quand je t'aimais d'amour, je t'aimais mon amour"
Publicité
Publicité